fiche de summer

« Summer tu revient pour le repas. D’accord ?» « D’accord. » dit la petite fille de sept ans qui partait déjà courir dans le champ qui se trouvait à coter de la veille étable où elle vivait avec sa mère, au fin fond du Kansas. Elle avait rendez vous... Pied nu dans l’herbe humide, elle se dirigea vers l’arbre aux secrets, un grand chêne doté d’immense pouvoir magique. Mais chuuuut c’était un secret. Mr Panpan lui avait fait promettre de le dire personne. D’ailleurs il était là aujourd’hui avec Mr Brun, l’ours en peluche. Summer les avaient invité à prendre le thé. Une fois qu’ils auraient bu l’élixir de vision, ils pourraient passer à travers l’arbre et rejoindre le monde merveilleux des Luthéviens. La fillette s’était promis d’être la gardienne de cet univers où une guerre sans pitié faisait rage. Elle avait rencontré Mr Panpan un jour d’été alors qu’elle se promenait. Le pauvre était mort de peur. Lorsqu’il s’était mit à parler, Summer avait été surprise mais elle s’était montré d’une telle gentillesse avec lui que Mr Panpan avait accepté de lui parler de son problème. Ensemble ils arriveraient à vaincre l’horrible Reine Métrèsse. Alors que l’enfant discutait de la marche à suivre, un ombre apparut. Léna Summer venait de rejoindre sa fille qui avait assise en tailleur dans l’herbe. « ça fait dix minute que je t’appelle ma chérie pour venir manger. Qu’est-ce que tu faisais ? » « Je parlais avec mes amis. » Mme Salvadore regarda le lapin et l’ours en peluche assis dans l’herbe et eut un léger sourire. Sa fille avait beaucoup, beaucoup d’imagination…

Pour la plupart des personnes le collège est sans nul doute la pire période de leurs vies. Pour Summer ce n’était pas la pire c’était encore plus que ça ! Agée de treize ans désormais, la jeune adolescente griffonnée sur son cahier de cour quand elle sentit une main lui tapoter l’épaule. Elle se retourna et Tom Korbel lui donna un morceau de papier. Reprenant sa position initiale elle le déplia et un sourire apparut sur ses lèvres quand elle aperçut un cœur. Elle se retourna vers lui, ravie, le garçon lui avait toujours énormément plus, sans qu’elle n’ose lui avouer. Mais c’est alors qu’il lui dit simplement. « Fait passer devant ! » ce qu’il n’avait pas eut le temps de lui dire… Déçue elle se retourna et retenu ses larmes, passant son index sous son œil pour essuyer celle qui s’apprêter à couler. Elle avait un appareil dentaire, les cheveux crépus, des lunettes, une grande timidité et faisait preuve d’une énoooorme maladresse. Comment aurait-elle pût lui plaire ? L’adolescence c’était pourrie !

« Mamaaaaan ! » « Qu’est-ce qu’il y a ma chérie ? » « Kassy a encore fouillé dans mes affaires ! » La petite sœur de Summer, âgée de neuf ans leva les yeux vers sa mère. « Non » dit-elle d’un ton peu convainquant, manquant visiblement de confiance en ce qu’elle disait. « Elle ment ! Mon rouge à lèvre à disparut et elle passe son temps dans mon armoire à écouter mes conversation au téléphone. » « Elle n’a que neuf ans Summer et tu es sa grande sœur, elle veut tout savoir de toi et te ressemblait c’est normal. » « Et bien moi j’ai dix sept ans et je n’ai pas envie d’avoir un gnome collait à mes basket ! » La jeune fille monta les marches de l’escalier en trombe et fit claquer la porte de sa chambre. Elle était furax ! En bas, Kassy regarda sa mère avec un air désolé. « Elle me déteste ? » « Bien sûr que non mon ange. Mais ce n’est pas facile pour elle en ce moment, tu comprendras quand tu seras plus grande. Ce n’est pas facile de grandir. » « Moi quand je serais grande je voudrais être comme Summer. » Léna se mit à rire parce qu’elle savait très bien à quelle point ses filles pouvaient se ressembler…

Summer était persuader que le facteur lui apporterait son diplôme, petit bout de papier qui lui prouverait une bonne fois pour toute qu’elle avait belle et bien eut son bac. Au lieu elle trouvait un lettre lui étant adressé et provenant de John-Thomas Salvadore, son père… Sa mère lui avait dit qu’il était mort à la guerre, en héro. La brunette déchiqueta l’enveloppe avec une certaine rapidité, piquée au vif par la curiosité. « Melle Salvadore, je me permet en ce jour de vous écrire. J’aurais aimé pouvoir vous dire que je suis votre père et qu’il est bel et bien en vie mais la vérité est tout autre. Je me présente, Edward Shiefield. J’ai bien connu votre père. J’ignore ce que votre mère vous a dit de lui mais sacher que c’était un homme bon, au grand cœur.