Altaïr Ibn La-Ahad
* Dir. de Poufsouffle *
* Prof. de Divination *
 Nombre de messages : 62
Maison/Ex-maison : POUFSOUFFLE
Âge du perso : 30 ANS
Qui suis-je ? : Un homme bien mystérieux, qui cache bien des secrets.
Ce que l\'on sait de moi : On ne connais mes véritables origines, ce qui est sûr c'est que je suis arabe, non sans blague? Méfiez-vous, je caches bien des choses.
Situation amoureuse : Collectionneur(se)
Rôle HRP : Membre mystérieux.
Une dédicace ? : Venez chez les pouffy ! 8D
Date d'inscription : 10/02/2009
 |  Sujet: - Minutes to Midnight (Pv)  Ven 13 Fév - 2:21 | |
| Réserver à Benj.
Il était certainement aux alentours des 23 heures mais, Altaïr n'arrivais pas à fermer l'œil malgré le fait qu'il avait encore du travail pour le lendemain. En vérité, il s'était réveiller après un mauvais rêve et n'arrivais plus à se rendormir, hanté par les fantômes de son passé revoyant sa mère adoptive inerte et son père disparu. Le professeur de divination avait décider de prendre l'air dans le parc de Poudlard. Après tout à cet heure-là plus aucun élève n'était censé s'y retrouver, et s'il en trouvais un ça se terminerais certainement très mal pour lui. Il avança lentement dans l'obscurité habitué depuis longtemps au noir absolu, il aimait cette ambiance un peu sombre et mystérieuse un peu comme lui, en fait. Le vent glaciale le fessant légèrement frissonner puis s'arrêta comme si une main invisible s'était accrocher à lui, lui suppliant de rester immobile les yeux rivé sur la pleine lune qu'on pouvait observer parfaitement de l'endroit où il se trouvait. Il soupira quelque mots en arabe d'une voix mélancolique, comme une promesse.
- أجدها يا سمير... *
Puis se sortant de ses songes, le prof' afficha un sourire sincère sur ses lèvres, comme s'il présageait la venu de quelqu'un et ses pressentiments n'étaient pas faux puisqu'après quelque minutes on pouvait entendre dans la brumes de la nuit un craquement signalant la venu de quelqu'un, seulement de qui s'agissait-il, surtout à cet heure ? Un ami, un ennemi ? Altaïr ne bougea pas, confiant il attendait que son interlocuteur prenne la parole. - Je te retrouverais, Samir.* | |
|
