Iranoe Sayuri ^ Directrice de Serdaigle ^ ^ Prof. de DCFM ^
Nombre de messages : 91 Âge du perso : 26 ans Qui suis-je ? : Mystère Ce que l\'on sait de moi : Professeur de DFCM, directrice de Serdaigle, deux enfants Situation amoureuse : Ne croit plus en l'amour Rôle HRP : Méchante sadique qui embête tout le monde Une dédicace ? : Yuri est à MOI et la première qui le touche, je l'énucléai .. bref, je lui arrache les yeux à la petite cuiller Date d'inscription : 22/01/2009
| Sujet: Description du bureau Mer 4 Fév - 18:20 | |
| Une porte en bois qui ressemble à toutes les autres de l’étage. Rien sur celle-ci n’indique la pièce sur laquelle elle ouvre… si ce n’est une étrange sculpture représentant une arabesque. Mais encore faut il la voir. Car patinée par le temps et les fréquents passages, elle n’est discernable que grâce au regard avertit des élèves et professeurs. Cette porte change parfois, se trouve ornée d’un nom, lorsque les circonstances l’exigent. Ainsi, dans une calligraphie splendide, on trouve quelque fois écrit :
Iranoe Sayuri. Directrice des Serdaigle.
La porte, une fois ouverte, donne sur une pièce à la fois spacieuse et lumineuse dont le mur du fond, qui devrait donner sur l’extérieur et sur le paysage vert du parc, donne sur quelque chose de totalement inattendu qui varie selon le désir et l’envie de l’occupante. D’ailleurs, les murs et le sol ont la même capacité que le donjon Serdaigle : la décoration change : tantôt de la pierre grise, des tentures ; tantôt une parfaite reproduction de cloison en papier de riz. Le sol quant à lui, laisse souvent imaginer que l’on a les pieds dans le vide. Fascinant en somme.
Les meubles sont de belle facture et soigneusement rangé. Disséminés entre les trois murs qui ne donnent pas sur l’extérieur, ils changent de place régulièrement. Seule l’armoire du fond à droite ne bouge jamais ainsi que la petite table qui est posée juste entre elle et le mur qui donne sur l’extérieur. Un bureau trône au deux tiers de la pièce. Impeccablement en ordre, il est néanmoins porteur d’un cadre photo qui ne change jamais. Enfin, trois fauteuils confortables complètent le tout.
Il se dégage de la pièce une impression de sérénité malgré l’ordre qui y règne. La colère ne semble pas avoir son mot à dire ici. | |
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